Andrew venait d'arriver à Poudlard, voilà une nouvelle année qui se présentait à lui, il espérait que tout allait bien se passer aussi bien en cours qu'en amitié, les deux étaient important. Il faisait léviter derrière lui sa grosse valise alors qu'il montait les escaliers de la salle commune des Gryffondors. Gryffondor. Il se doutait qu'il allait aller dans cette maison, il était content, mais déçu de ne pas connaître les autres maisons, il demanderait aux élèves comment c'est de leur côté, il voulait rapidement faire de nouvelles rencontres, il n'aimait pas rester seul, il aimait la compagnie des gens. C'était sûrement dû à sa grande famille, il était toujours entourer par ceux qu'il aimaient et il voulait que ce soit pareil ici, c'est seulement ainsi qu'il se sentirait bien.

Il rentre dans le dortoir des garçons en regardant autour de lui, émerveillé comme un gamin, il trouvait tout le château magique, ce qui était normal après tout. Il pose sa valise sur l'un des lits vides, pour l'instant il était seul, il n'y avait personne dans les parages. Il en profite donc pour ranger ses affaires dans la grosse malle qui lui appartenait, en face de son lit. Les autres allaient-ils arriver rapidement ? Il l'espérait, plus vite il fera des connaissances, mieux il se portera.

On pourrait croire qu'il était en manque d'affection et avait peur de l'abandon, mais ce n'était pas le cas, il aimait être tactile et chaleureux avec les autres, il ne pouvait s'empêcher de toucher les gens et de rire avec, il ne pourrait pas vivre seul, alors un dortoir pour lui c'était parfait, il allait passer une année super.

Après avoir ranger tout son bric-à-brac, il se posa sur son lit baldaquin puis se couche. Il regardait le plafond, un sourire heureux sur les lèvres, c'était sa dernière année alors il allait en profiter un maximum, il allait faire les 400 coups avec ses camarades sans se faire prendre si possible, il ne voulait pas faire perdre des points aux Gryffondors. En parlant de points, il comptait en faire gagner le plus possible, il voulait gagner et savait qu'il n'était pas le seul à penser ainsi.

Le Gryffondor se relève et va à la vieille fenêtre. Il regarde la vue qu'il a et sourit. Impressionnant. Heureusement qu'il n'avait pas le vertige sinon il se serait s'en doute déjà évanoui et il n'y aurait personne pour le retenir alors il se ferait très mal, surtout que le sol n'était pas très confortable. Il pose son front contre la vitre froide et soupir doucement, son haleine alla se heurter contre le carreau, provoquant ainsi de la buée. Il n'y fit pas attention et se contenta d'admirer la vue époustouflante qui s'offrait à lui.